Depuis toujours, elle dérange un peu le cadre. Pas par provocation, mais parce qu’elle pense et crée différemment. Rêveuse, fonceuse, elle a toujours navigué entre les étiquettes sans jamais en choisir une seule.
Son parcours, c’est celui d’une femme qui refuse d’être définie par les autres et qui, à force d’oser, a fini par tracer sa propre route.
Originaire de Péros-Guirec, en Bretagne, Maïwenn grandit dans un univers où la créativité est une évidence. Chez elle, on ne parle pas d’"art" mais on fabrique, on transforme, on réinvente. Sa mère change la déco au gré des magazines qu’elle lit, son père bricole.
Dès petite, elle comprend une chose essentielle : « Je le veux, je vais y arriver ! » me raconte Maïwenn.
Peindre, créer, raconter… Il suffit d’y aller.
Dans les écoles bretonnes qu’elle fréquente, elle apprend la langue et la culture locale. Mais c’est aussi une enfant qui rêve en grand, d’abord en princesse, puis en actrice, puis en tout ce qui pouvait permettre d’être libre. Elle choisit ses activités extra-scolaires pour les tenues qu’elles impliquent, jusqu’à ce qu’elle tombe sur le théâtre. Là, enfin, une révélation.
Pour Maïwenn, l’école est un paradoxe. Elle adore y être, mais pas pour apprendre.
Brillante socialement mais peu académique, Maïwenn voit l’école comme un espace de rencontres, de potins et d’amitiés. Elle est celle qui met l’ambiance, qui est toujours élue déléguée.
Les matières classiques l’ennuient, mais la vie, elle, la fascine.
Après une série d’établissements et une orientation en bac pro Métiers de la mode, elle découvre un univers où la rigueur technique domine sur la créativité. Un défi qu’elle relève, malgré un environnement parfois rude. Mais déjà, son regard s’aiguise : elle commence la photo, fascinée par la lumière et l’instant.
Elle commence par la photo : un regard, un déclic. Ce qui l’obsède, ce n’est pas seulement la technique, mais l’histoire qu’une image peut raconter.
Son bac pro en métiers de la mode lui donne une rigueur, une maîtrise des matières et des formes. Elle comprend comment fonctionnent les objets, comment ils prennent vie.
Mais très vite, elle réalise qu’elle ne veut pas être enfermée dans un seul domaine. Elle teste, explore : la couture, la communication, la direction artistique…
Originaire de Péros-Guirec, en Bretagne, Maïwenn grandit dans un univers où la créativité est une évidence. Chez elle, on ne parle pas d’"art" mais on fabrique, on transforme, on réinvente. Sa mère change la déco au gré des magazines qu’elle lit, son père bricole.
Dès petite, elle comprend une chose essentielle : « Je le veux, je vais y arriver ! » me raconte Maïwenn.
Peindre, créer, raconter… Il suffit d’y aller.
Dans les écoles bretonnes qu’elle fréquente, elle apprend la langue et la culture locale. Mais c’est aussi une enfant qui rêve en grand, d’abord en princesse, puis en actrice, puis en tout ce qui pouvait permettre d’être libre. Elle choisit ses activités extra-scolaires pour les tenues qu’elles impliquent, jusqu’à ce qu’elle tombe sur le théâtre. Là, enfin, une révélation.
Pour Maïwenn, l’école est un paradoxe. Elle adore y être, mais pas pour apprendre.
Brillante socialement mais peu académique, Maïwenn voit l’école comme un espace de rencontres, de potins et d’amitiés. Elle est celle qui met l’ambiance, qui est toujours élue déléguée.
Les matières classiques l’ennuient, mais la vie, elle, la fascine.
Après une série d’établissements et une orientation en bac pro Métiers de la mode, elle découvre un univers où la rigueur technique domine sur la créativité. Un défi qu’elle relève, malgré un environnement parfois rude. Mais déjà, son regard s’aiguise : elle commence la photo, fascinée par la lumière et l’instant.
Elle commence par la photo : un regard, un déclic. Ce qui l’obsède, ce n’est pas seulement la technique, mais l’histoire qu’une image peut raconter.
Son bac pro en métiers de la mode lui donne une rigueur, une maîtrise des matières et des formes. Elle comprend comment fonctionnent les objets, comment ils prennent vie.
Mais très vite, elle réalise qu’elle ne veut pas être enfermée dans un seul domaine. Elle teste, explore : la couture, la communication, la direction artistique…
Paris l’appelle. Là-bas, elle découvre un monde où tout va plus vite, où l’image est une arme. Elle intègre une école de communication de mode, affine son regard, apprend à construire des univers visuels.
Elle se retrouve à jongler entre photographie, graphisme et direction artistique, sans jamais s’enfermer. Maïwenn n’est pas une "photographe", ni une "DA", ni une "graphiste". Elle est tout à la fois.
Puis, il y a Céline.
Une femme qui, avec son énergie débordante, l’encourage à oser davantage, à sortir des schémas. Avec elle, Maïwenn se permet tout : des shootings expérimentaux, des mises en scène audacieuses.
Jusqu’au jour où tout bascule. Céline disparaît brutalement. Une claque violente. Une prise de conscience immédiate. La vie est trop courte pour ne pas être soi.
Maïwenn comprend alors qu’elle n’a plus de temps à perdre. Elle assume pleinement son regard, sa vision. Elle arrête de douter.
Désormais, Maïwenn n’a plus peur de s’affirmer. Son travail est un mélange puissant entre photographie, art et storytelling. Elle capture les identités, magnifie les histoires et donne du relief aux projets qu’elle touche.
Elle incarne l’idée que se réinventer est une force, et que l’authenticité est la clé d’un univers visuel puissant. Elle n’a pas suivi un parcours linéaire, mais c’est précisément ce qui fait la richesse de sa vision aujourd’hui.
À travers son travail, elle nous rappelle que l’instinct et la créativité sont les plus belles boussoles. Et qu’au fond, l’essentiel n’est pas de rentrer dans une case, mais d’oser tracer sa propre ligne.
Suivez Maïwenn sur @amour_breton
Retrouvez son univers sur le site de Amour Breton
Paris l’appelle. Là-bas, elle découvre un monde où tout va plus vite, où l’image est une arme. Elle intègre une école de communication de mode, affine son regard, apprend à construire des univers visuels.
Elle se retrouve à jongler entre photographie, graphisme et direction artistique, sans jamais s’enfermer. Maïwenn n’est pas une "photographe", ni une "DA", ni une "graphiste". Elle est tout à la fois.
Puis, il y a Céline.
Une femme qui, avec son énergie débordante, l’encourage à oser davantage, à sortir des schémas. Avec elle, Maïwenn se permet tout : des shootings expérimentaux, des mises en scène audacieuses.
Jusqu’au jour où tout bascule. Céline disparaît brutalement. Une claque violente. Une prise de conscience immédiate. La vie est trop courte pour ne pas être soi.
Maïwenn comprend alors qu’elle n’a plus de temps à perdre. Elle assume pleinement son regard, sa vision. Elle arrête de douter.
Désormais, Maïwenn n’a plus peur de s’affirmer. Son travail est un mélange puissant entre photographie, art et storytelling. Elle capture les identités, magnifie les histoires et donne du relief aux projets qu’elle touche.
Elle incarne l’idée que se réinventer est une force, et que l’authenticité est la clé d’un univers visuel puissant. Elle n’a pas suivi un parcours linéaire, mais c’est précisément ce qui fait la richesse de sa vision aujourd’hui.
À travers son travail, elle nous rappelle que l’instinct et la créativité sont les plus belles boussoles. Et qu’au fond, l’essentiel n’est pas de rentrer dans une case, mais d’oser tracer sa propre ligne.
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