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Vous le connaissez à travers ses reportages, à la radio, sur YouTube ou à la télé, mais qui se cache derrière ce micro ?
Quand on écoute Evan raconter son parcours, on a l'impression d'un tour de manège sans fin, entre passion enfantine, culot XXL et envie constante de raconter des histoires. Rien ne semblait le destiner à la télé ou aux réseaux, et pourtant, il est partout. Voici le portrait d'un Breton à l'énergie contagieuse, passé par les coulisses de Disney avant d'enchanter les téléspectateurs.
Evan, c’est cette voix chaleureuse et ce regard curieux qu’on retrouve aussi bien sur France Bleu que sur France 2 ou sur les réseaux sociaux. Toujours là où on ne l’attend pas, il raconte la Bretagne, les gens, les savoir-faire, avec humour, tendresse et une passion contagieuse. Mais derrière les vidéos bien montées et les chroniques enjouées, se cache un parcours aussi singulier qu’inspirant.
Tout commence à Quiberon, dans le Morbihan. Evan grandit entre les caméras de son grand-père, qui filmait tout, des fleurs aux goûters de l’amicale des anciens. À 12 ans, il détourne le caméscope familial pour filmer ses propres fausses émissions. Très tôt, il se passionne pour la mise en scène, les costumes, les histoires. La suite est logique : un BTS audiovisuel à Toulouse, puis une licence pro à l'école des Gobelins, à Paris.
C’est là que tout s’accélère. Evan, passionné par les coulisses du parc Disneyland, appelle le standard pour savoir s’il existe un service audiovisuel. Coup de chance (ou destin ?) : on le transfère vers une manager... bretonne. Stage, puis alternance. À Disney, il intègre une équipe qui gère les tournages pour les chaînes européennes, les spots publicitaires, les contenus réseaux sociaux. Il participe aussi à des projets à Disney World en Floride, puis à Shanghai pour l’ouverture du parc. Une école du storytelling à l’américaine, exigeante, qui va marquer durablement son regard.
Mais à force de grosses prods et de process longs, Evan commence à rêver d’un format plus agile. À Noël, on lui offre une GoPro. Il tourne une vidéo sur un crêpier à Plouharmel, entre marché, cuisine, et coulisses. Il filme, monte, poste. Succès immédiat. Ouest-France relaie, le bouche-à-oreille fonctionne. Il enchaîne : ostréiculteur, thalasso, maraîcher... Toujours avec ce ton drôle, sincère et bienveillant. La Bretagne devient son terrain de jeu.
Alors qu’il travaille encore chez Disney, la Région Bretagne le contacte pour des vidéos officielles. France 3 Pays de la Loire lui propose une chronique. Puis viennent d'autres clients : SNCF, Engie, musées, offices de tourisme. Il jongle un temps entre ses missions et son poste à Disney, avant de prendre un congé sabbatique. Il ne retournera jamais à Disney. Trop de liberté, trop d’envie, trop d’idées.
Aujourd’hui, Evan anime aussi une chronique à France Bleu, intervient dans Télématin sur France 2, et travaille avec Jamy dans son émission sur France 5. Il garde un pied sur YouTube, l'autre sur Instagram, avec toujours la même mission : valoriser les gens qui font, ceux qui créent, qui transmettent, qui ont une passion à partager.
C’est là que tout s’accélère. Evan, passionné par les coulisses du parc Disneyland, appelle le standard pour savoir s’il existe un service audiovisuel. Coup de chance (ou destin ?) : on le transfère vers une manager... bretonne. Stage, puis alternance. À Disney, il intègre une équipe qui gère les tournages pour les chaînes européennes, les spots publicitaires, les contenus réseaux sociaux. Il participe aussi à des projets à Disney World en Floride, puis à Shanghai pour l’ouverture du parc. Une école du storytelling à l’américaine, exigeante, qui va marquer durablement son regard.
Mais à force de grosses prods et de process longs, Evan commence à rêver d’un format plus agile. À Noël, on lui offre une GoPro. Il tourne une vidéo sur un crêpier à Plouharmel, entre marché, cuisine, et coulisses. Il filme, monte, poste. Succès immédiat. Ouest-France relaie, le bouche-à-oreille fonctionne. Il enchaîne : ostréiculteur, thalasso, maraîcher... Toujours avec ce ton drôle, sincère et bienveillant. La Bretagne devient son terrain de jeu.
Alors qu’il travaille encore chez Disney, la Région Bretagne le contacte pour des vidéos officielles. France 3 Pays de la Loire lui propose une chronique. Puis viennent d'autres clients : SNCF, Engie, musées, offices de tourisme. Il jongle un temps entre ses missions et son poste à Disney, avant de prendre un congé sabbatique. Il ne retournera jamais à Disney. Trop de liberté, trop d’envie, trop d’idées.
Aujourd’hui, Evan anime aussi une chronique à France Bleu, intervient dans Télématin sur France 2, et travaille avec Jamy dans son émission sur France 5. Il garde un pied sur YouTube, l'autre sur Instagram, avec toujours la même mission : valoriser les gens qui font, ceux qui créent, qui transmettent, qui ont une passion à partager.
Derrière l’humour, il y a du fond. Evan parle beaucoup d’environnement, de circuits courts, d’énergies renouvelables, d’agriculture raisonnée. Il veut vulgariser, rendre les choses accessibles, sans jamais donner de leçons. Il rit, il met en scène, mais il éduque. En toute humilité.
Et demain ?
Il rêve de publier un livre sur les pépites méconnues de la Bretagne. En attendant, il continue de courir, de filmer, de raconter. Il refuse les collabs qui ne font pas sens. Il croit à la bienveillance, et ça se voit.
Evan, c’est un peu le copain qu’on aimerait tous avoir. Celui qui parle à tout le monde, qui rit avec tout le monde, et qui trouve toujours un angle joyeux pour montrer ce que les autres ne voient plus.
Suivez les aventures de Evan de Bretagne sur Instagram @evandebretagne
Derrière l’humour, il y a du fond. Evan parle beaucoup d’environnement, de circuits courts, d’énergies renouvelables, d’agriculture raisonnée. Il veut vulgariser, rendre les choses accessibles, sans jamais donner de leçons. Il rit, il met en scène, mais il éduque. En toute humilité.
Et demain ?
Il rêve de publier un livre sur les pépites méconnues de la Bretagne. En attendant, il continue de courir, de filmer, de raconter. Il refuse les collabs qui ne font pas sens. Il croit à la bienveillance, et ça se voit.
Evan, c’est un peu le copain qu’on aimerait tous avoir. Celui qui parle à tout le monde, qui rit avec tout le monde, et qui trouve toujours un angle joyeux pour montrer ce que les autres ne voient plus.
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