Chez Pauline, il n’y a pas de baguette magique ni de recettes miracles. Juste une grande écoute, une énergie douce et des mains qui trient, rangent, déplacent et redonnent vie aux espaces oubliés. Depuis qu’elle a fondé PO’sitive et Organisée, Pauline transforme nos chaos domestiques en cocons apaisés. Basée à Rennes, elle se déplace jusqu’à 100 km autour de la ville. Et elle est aussi une membre active de la Fédération Francophone des Professionnels de l’Organisation , une communauté qui œuvre à faire connaître le métier de home organizer en France.
Avant de devenir home organizer, Pauline a travaillé 15 ans dans l’administratif. Derrière un écran, à gérer des dossiers, des RH, de la formation. Et puis, il y a eu un déclic. Une grossesse pendant le Covid, un besoin de sens, une fatigue qui s’accumule. Et un jour, elle tombe sur une publication Instagram : le métier de home organizer existe. “J’ai su tout de suite que c’était pour moi.”
Petite, elle adorait tout retourner dans sa chambre, changer les meubles de place, ranger à fond… avant de recommencer le joyeux bazar. Devenue maman, elle comprend qu’un bon rangement ne suffit pas si on ne repense pas l’organisation du quotidien.
Aujourd’hui, elle aide ses clients à trier leur intérieur, alléger leur charge mentale, et reprendre la main sur leur quotidien. Elle travaille autant avec des familles dépassées qu’avec des seniors qui déménagent, ou des entrepreneures perdues dans leur administratif.
“Le plus dur, c’est pas de ranger, c’est de savoir par où commencer.”
Pauline n’a rien d’une Marie Kondo stricte. Chez elle, pas de règle figée, pas de pression. “Je trouve ça très bien de vider son sac à main tous les soirs. Mais qui fait ça dans la vraie vie ?” glisse-t-elle en souriant. Ce qu’elle préfère, c’est accompagner les transitions de vie : déménagement, arrivée d’un bébé, séparation, burn-out... Elle entre dans les foyers comme on entre dans une histoire, avec tact et discrétion. Elle écoute beaucoup. Et elle aide à reconstruire, à repartir sur de bonnes bases, souvent à partir d’un carton oublié dans un coin.
En plus des missions à domicile, elle anime des ateliers sur la charge mentale, en collaboration avec des mairies, et propose une aide administrative pour les indépendants. Ce qu’elle aime, c’est offrir des outils simples, concrets, humains. Son objectif ? Accompagner sans culpabiliser, aider sans imposer, et surtout, rappeler à chacun qu’il n’y a pas de honte à demander de l’aide.
“Certaines personnes pensent que mes conseils sont évidents mais pas pour tout le monde, s’organiser, ça s’apprend. Et parfois, il suffit d’un petit déclic pour retrouver le contrôle.”
Retrouvez Pauline sur Instagram @positive.et.organisee
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Avant de devenir home organizer, Pauline a travaillé 15 ans dans l’administratif. Derrière un écran, à gérer des dossiers, des RH, de la formation. Et puis, il y a eu un déclic. Une grossesse pendant le Covid, un besoin de sens, une fatigue qui s’accumule. Et un jour, elle tombe sur une publication Instagram : le métier de home organizer existe. “J’ai su tout de suite que c’était pour moi.”
Petite, elle adorait tout retourner dans sa chambre, changer les meubles de place, ranger à fond… avant de recommencer le joyeux bazar. Devenue maman, elle comprend qu’un bon rangement ne suffit pas si on ne repense pas l’organisation du quotidien.
Aujourd’hui, elle aide ses clients à trier leur intérieur, alléger leur charge mentale, et reprendre la main sur leur quotidien. Elle travaille autant avec des familles dépassées qu’avec des seniors qui déménagent, ou des entrepreneures perdues dans leur administratif.
“Le plus dur, c’est pas de ranger, c’est de savoir par où commencer.”
Pauline n’a rien d’une Marie Kondo stricte. Chez elle, pas de règle figée, pas de pression. “Je trouve ça très bien de vider son sac à main tous les soirs. Mais qui fait ça dans la vraie vie ?” glisse-t-elle en souriant. Ce qu’elle préfère, c’est accompagner les transitions de vie : déménagement, arrivée d’un bébé, séparation, burn-out... Elle entre dans les foyers comme on entre dans une histoire, avec tact et discrétion. Elle écoute beaucoup. Et elle aide à reconstruire, à repartir sur de bonnes bases, souvent à partir d’un carton oublié dans un coin.
En plus des missions à domicile, elle anime des ateliers sur la charge mentale, en collaboration avec des mairies, et propose une aide administrative pour les indépendants. Ce qu’elle aime, c’est offrir des outils simples, concrets, humains. Son objectif ? Accompagner sans culpabiliser, aider sans imposer, et surtout, rappeler à chacun qu’il n’y a pas de honte à demander de l’aide.
“Certaines personnes pensent que mes conseils sont évidents mais pas pour tout le monde, s’organiser, ça s’apprend. Et parfois, il suffit d’un petit déclic pour retrouver le contrôle.”
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